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Pour les pédiatres américains, enseigner aux enfants le transgenre est de la maltraitance

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des professionnels reconnaissent enfin les effets dévastateurs de ce concept de trangendérisme

On parle de transgenre pour évoquer les personnes dont l’identité psychique et sociale reliée aux concepts d’homme et de femme entre en conflit avec le sexe biologique. (article de infochretienne)

Dans un article publié sur leur site le 21 mars 2016, l’American College of Pédiatricians a mis en garde l’opinion publique contre toutes les politiques conditionnant les enfants à penser que le phénomène transgenre est normal. 

« L’American College of Pédiatricians exhorte les éducateurs et les législateurs à rejeter toutes les politiques qui conditionnent les enfants à considérer comme normal la prise de produits chimiques et l’usurpation de l’identité sexuelle par chirurgie. »

Au travers de ce texte, les pédiatres ont voulu élever leur voix face au lobby LGBT et rappeler que l’idéologie ne détermine pas la réalité. Ils dénoncent ainsi la banalisation du phénomène transgenre au travers de 8 arguments.

Pour voir le rapport original , cliquez sur le lien ci-dessous :

http://www.acpeds.org/the-college-speaks/position-statements/gender-ideology-harms-children

Voici les 8 certitudes qui sont établies par ce rapport :

  1. La sexualité humaine est un trait binaire, biologique et objectif .
    Les chromosomes « XY » et « XX » sont des marqueurs génétiques. La norme pour un humain est d’être conçu mâle ou femelle. Les troubles, extrêmement rares, du développement sexuel sont d’ailleurs reconnus comme des troubles de la conception humaine et non comme un troisième sexe.
  2. Personne ne naît avec un genre. Tout le monde naît avec un sexe biologique.
    Le genre, c’est à dire, la prise de conscience et le sens de soi comme homme ou femme, est un concept sociologique et psychologique et non un fait biologique.
  3. Le fait qu’une personne pense être autre chose que ce qu’elle est, a une cause psychologique et non physiologique. Le problème psychologique réside dans l’esprit et non dans le corps et doit être traité comme tel.
  4. La puberté n’est pas une maladie. Prendre un traitement hormonal dans le but de la stopper peut être dangereux, et provoquer des problèmes de croissance et de fertilité sur un individu auparavant sain.
  5. Après la puberté, la plupart des adolescents ayant une confusion du genre acceptent finalement leur sexe biologique.
    Selon le manuel diagnostique et statistique de l’American Psychiatric Association, 98% des garçons présentant une confusion du genre et 88% des filles acceptent naturellement leur sexe biologique après la puberté.
  6. Les enfants utilisant des bloqueurs de la puberté pour se faire passer pour le sexe opposé , doivent avoir recours aux hormones cross-sexe à la fin de l’ adolescence.
    Ce mélange de testostérone et oestrogènes est associé à des risques élevés sur la santé comme par exemple l’hypertension artérielle, la thrombose, les accidents vasculaires cérébraux et les cancers.
  7. Le taux de suicide est vingt fois plus élevé chez les adultes utilisant des hormones cross-sexe et ayant subi une chirurgie de changement de sexe. Ce phénomène est de la même manière observé en Suède, pays pourtant le plus favorable au mouvement LGBT.
  8. Le conditionnement des enfants à croire que toute une vie d’usurpation d’identité chimique et chirurgicale du sexe opposé est normal et sain est de la maltraitance des enfants.

Espérons  que ce rapport soit désormais suivi par la population américaine et internationale…

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