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la symbolique très spirituelle du parlement européen

La signification prophétique de l’Union Européenne s’est manifestée de plus en plus clairement, à mesure que s’est révélée toute cette saga. Tout d’abord, le symbole choisi pour représenter l’Europe fut “la Femme assise sur la Bête.” Cela vient d’une prophétie du chapitre 17 du Livre de l’Apocalypse. Cette Prostituée a aussi été représentée sur le timbre commémoratif de l’Union Européenne, ainsi que sur un immense tableau figurant à l’intérieur des nouveaux locaux du Parlement Européen à Bruxelles. Elle figure aussi sur une immense sculpture, à l’extérieur du nouveau bâtiment du Conseil des Ministres de l’Union Européenne à Bruxelles. Certaines nouvelles pièces de la monnaie européenne portent aussi le même symbole.

Par ailleurs, la Tour de Babel a été représentée sur des affiches produites par l’Union Européenne, ce qui représente un signe vraiment prophétique.

A préciser que contrairement au drapeau européen, les étoiles apparaissent ici à l’envers, cela ne rappelle t-il rien ?

D’étranges taureaux.

L’Ecriture est remplie de « types », c’est-à-dire d’exemples, de personnages, de créatures ou de pratiques qui représentent des réalités spirituelles ou des événements futurs. Il nous faut donc étudier sérieusement les Ecritures, avec une bonne « loupe », pour y découvrir ces admirables trésors. Il n’est pas facile d’étudier en profondeur la Parole de Dieu. Cela exige de notre part une bonne dose de discipline personnelle et de concentration mentale.

Le Livre des Nombres nous décrit par exemple le nombre de taureaux qui devaient être sacrifiés chaque jour tout au long de la Fête des Tabernacles. Ces taureaux représentent des « types » d’une réalité qu’il nous faut découvrir. Il fallait sacrifier :

Le premier jour, 13 taureaux.

Le second jour, 12 taureaux.

Le troisième jour, 11 taureaux.

Le quatrième jour, 10 taureaux.

Le cinquième jour, 9 taureaux.

Le sixième jour, 8 taureaux.

Le septième jour, 7 taureaux.

Cela représente au total 70 taureaux. Un dernier taureau devait être sacrifié au cours du dernier Grand Jour de la Fête. En ce qui concerne les 70 taureaux sacrifiés pendant la Fête des Tabernacles proprement dite, le Talmud pose quelque part la question suivante : « A quoi correspondent ces 70 taureaux ? » Il répond : « Aux 70 nations, dont la liste figure dans le mystérieux Tableau des Nations ». Une note précise : « 70 est le nombre traditionnel des nations des Gentils. Les 70 taureaux étaient donc sacrifiés pour faire l’expiration pour les nations ».

En Israël, les sacrificateurs constituaient la classe dirigeante. La Loi Juive prévoyait que l’on sacrifie des taureaux pour faire l’expiration pour les sacrificateurs (Lévitique 4 :3). Il fallait aussi sacrifier un taureau pour faire l’expiation pour tout Israël, en tant que nation (Lévitique 4 :13-14). En revanche, pour faire l’expiation pour un chef qui avait péché, il fallait sacrifier un bouc mâle (Lév. 4 :22-23). Pour faire l’expiation pour quelqu’un du peuple, il fallait sacrifier une chèvre (Lév. 4 :27-28). Ainsi, l’interprétation Juive des 70 taureaux semble raisonnable, car ils sont offerts pour des nations. Dans Genèse 10, décrivant la postérité des fils de Noé, nous découvrons 70 noms, représentant 70 nations.

D’autres passages des Ecritures confirment cette interprétation. Dans le Psaume 68 :30-31, les rois des Gentils sont comparés à des taureaux. Dans Esaïe 34 :7, les chefs d’Edom sont aussi comparés à des taureaux, ainsi que les habitants de Babylone (Jérémie 50 :27).

Les Ecritures nous apprennent que le royaume de Satan est bien organisé (Ephésiens 6 :12 ; Col. 1 :16). Le Malin se sert de cette organisation pour contrôler les nations de ce monde. Daniel nous apprend que les nations sont contrôlées par des puissances spirituelles mauvaises. L’une d’entre elles se nomme « le prince de Perse », un démon très puissant (Daniel 10 :13, 20). Ces mauvais esprits qui dirigent les nations ont été aussi représentés par les taureaux des mythologies antiques, c’est-à-dire des dieux très puissants qui n’étaient autres que les démons qui peuplaient les systèmes religieux de ces civilisations. David lui-même semble avoir été attaqué par ces puissances mauvaises, représentées par des taureaux, et il dut crier à Dieu pour en être délivré (Psaume 22 :12, 21).

Une femme assise sur une Bête.

Dans tout le Moyen Orient antique, nous trouvons des références au taureau, symbole de force et de fertilité. De nombreux dieux étaient représentés par des taureaux. « El », le dieu suprême du panthéon décadent de Canaan, était souvent appelé « El le taureau ». C’était le dieu de la fertilité. Baal, également dieu de la fertilité, de l’orage, de la pluie et de la végétation, est aussi appelé le « taureau ». De même, chez les Hittites, les Araméens et les Babyloniens, les dieux taureaux étaient dominants dans leurs religions, sans parler des nombreux taureaux et veaux étroitement associés au culte du dieu égyptien Horus. Même aujourd’hui, on rencontre le culte de la vache et du taureau dans de nombreux peuples de l’Ethiopie et de l’Inde. Le culte du taureau était un élément important de la religion de Mithra.

En Babylonie, les sculptures des dieux taureaux gardaient les entrées des temples, des maisons et des jardins, (contrairement au « lion de Juda », largement représenté dans tout l’Empire Britannique !) Au cours de la période assyrienne, on lui ajouta une face humaine. A Khorsabad, on retrouva dans le palais de Sargon II des statues colossales de taureaux ailés à face humaine. Pour les Babyloniens, ces taureaux étaient en réalité des esprits, qui pouvaient apporter le bonheur ou le malheur aux être humains. Nous savons que les démons sont capables de faire apparemment du bien aux hommes pour les séduire et les entraîner dans l’erreur, mais cela se termine toujours mal. Ces esprits peuplaient les airs, et provoquaient les éclairs et les orages. Leurs prêtres et leurs rites semblaient servir la lumière, mais ils servaient en réalité les ténèbres (2 Cor. 11 :13-15).

Il faut aussi noter que ces dieux taureaux qui « remplissaient les airs » semblent correspondent à ce que Paul enseignait, quand il dénonçait le « prince de la puissance de l’air », et les « esprits méchants dans les lieux célestes », dans son épître aux Ephésiens (Eph. 2 :2 et 6 :12). Il existe aussi une autre relation avec les cieux : le Taureau est l’une des constellations du Zodiaque.

Ce culte du taureau était condamné et dénoncé par la Bible (Exode 32 ; Josué 24 :2 ; 1 Rois 12 :28 ; Osée 8 :5 et 13 :2). Les perversions sexuelles, les fausses doctrines et les pratiques abominables qui étaient associées à ce culte finirent par user la patience le Dieu d’Israël, qui ordonna à Son peuple d’éradiquer ces religions de leur terre. Hélas, ce commandement ne fut jamais entièrement appliqué.

Dans la Rome païenne, on sacrifiait un taureau au cours d’un baptême de sang, dans le Taurobolium romain, en honneur de divinités comme Mithra. Dans une tranchée, le sang du taureau coulait sur l’initié et couvrait tout son corps. Ce dernier buvait même le sang chaud. Il ressortait ensuite de ce baptême sanglant en croyant qu’il était purifié de ses péchés, et « né de nouveau pour l’éternité ». En revanche, quand un Chrétien est plongé dans l’eau lors de son baptême, il est symboliquement lavé dans le sang de Jésus, l’Agneau de Dieu. Il doit ensuite symboliquement « manger la chair » et « boire le sang » de Jésus (Jean 6 :53-56), ce qui doit assurer sa croissance spirituelle, jusqu’à la résurrection de son corps, qui est aussi comme une nouvelle naissance.

De toute manière, la mythologie concernant le taureau est fascinante. La divinité suprême des Grecs était Zeus. Il avait beaucoup d’autres noms, comme Ombrios (le dieu de la Pluie), Keraunos (le dieu des Eclairs), Pater (Père), et Sauter (Sauveur). La mythologie grecque raconte que Zeus est tombé amoureux d’Europe, la très belle fille d’Agénor, roi de Phénicie. Dans sa passion, Zeus se transforma en taureau blanc, et se mêla aux troupeaux d’Agénor, tandis qu’Europe cueillait des fleurs. Puis Europe s’approcha du taureau blanc, le caressa doucement, et eut le courage de monter sur lui. Prenant avantage de la situation, Zeus emporta Europe vers les rivages de la Mer Méditerranée, puis au-dessus de la mer, vers la Crète. Là, il reprit sa forme normale, et il engendra trois fils à Europe. Cette tradition grecque vient en fait de traditions préhelléniques antérieures, qui représentaient des prêtresses de la lune chevauchant triomphalement le dieu taureau du soleil. On peut retrouver dans toute la région de la Méditerranée orientale des figurines représentant une femme assise sur un taureau.

Selon une tradition, Europe était la grande déesse Mère du continent de l’Europe. Cette tradition est évoquée directement par des prophéties de la Bible. Dans le Livre de l’Apocalypse, il est écrit :

« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité, et c’est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre » (Apoc. 17 :1-5).

Il se pourrait bien que cette femme assise sur une bête soit la même qu’Europe assise sur son taureau, sur les rivages de la Mer Méditerranée. C’est Dieu qui a inspiré ces paroles, et cette description de Jean rappelle, au moins en partie, la mythologie grecque. Pour quelle raison ? Sans doute pour indiquer les racines païennes de cette grande prostituée, et de la bête sur laquelle elle est assise. En outre, comme Europe était originaire de la Phénicie, c’est-à-dire du pays de Canaan, cela nous précise encore mieux l’origine et l’inspiration de la religion symbolisée par cette grande prostituée. Les Cananéens venaient eux-mêmes des Babyloniens, et ils avaient reçu leur religion de ces derniers. Le nom même « d’Europe » est pour nous une indication que tout le continent de l’Europe a été séduit et trompé par cette fausse religion.

Nous savons qui a été la grande religion apostate qui a dominé l’Europe pendant des siècles. Elle est la mère de nombreuses autres prostituées qui sont sorties d’elle en « protestant ». Il n’est pas étonnant que ces mêmes symboles antiques soient réutilisés par la grande Union Européenne. Cette Union n’est en fait qu’une reconstitution de l’Empire Romain, et de l’empire qui en a pris la suite, le Saint Empire Romain. Le système de la Bête Romaine sert effectivement de monture à une Eglise dont les racines sont clairement cananéennes et babyloniennes.

La couverture du magazine « Europe » a reproduit, en mai 1984, le timbre émis pour célébrer les accomplissements de la Communauté Européenne. Il représente la belle Europe assise sur un taureau, volant sur la mer, assistée par un chérubin ! Sept années plus tard, le 9 décembre 1991, le magazine « Time » présente une belle femme assise sur un taureau noir, et brandissant le drapeau européen bleu à douze étoiles d’or. En mai 2000, le magazine « Der Spiegel » reprit le même thème en page de couverture. Le 16 septembre 1996, le magazine « The Australian » fit paraître un article présentant la future monnaie européenne, décrite comme la « monnaie de l’espérance ». Le symbole monétaire de la Banque Européenne était un taureau ailé entouré des étoiles du drapeau européen. Un taureau ailé ? Il s’agit de la même divinité assyrienne. Ceux qui connaissent l’Histoire et les prophéties bibliques ne seront pas étonnés d’apprendre que le siège de la Banque Européenne est situé en Allemagne, là où demeurent aussi les descendants militaires de l’antique Assur, fils de Sem (Genèse 10 :22). Sur plusieurs pièces de la nouvelle monnaie européenne figure une femme assise sur un taureau. Il est intéressant de savoir également que la déesse Inana, plus ancienne qu’Europe, était souvent représentée assise sur le dos d’un lion, pour signifier qu’elle coopérait avec cette terrible bête. Nous voyons ainsi quelle est l’ancienneté de cette légende.

L’Apocalypse nous révèle aussi que les dix cornes de la Bête (qui peuvent aussi être les cornes du taureau), se retourneront contre la Grande Prostituée pour la déchirer et la dévorer (Apoc. 17 :16). Plus tard, cette Bête sera elle-même détruite par Jésus-Christ. Ainsi s’achèvera l’histoire de la prostituée assise sur la bête, c’est-à-dire la fausse Eglise qui a son siège en Europe, et qui s’appuie sur la puissance politique et militaire de l’Antichrist.

Timbre reproduit par le magazine Europe

Extrait du magazine Time du 9 décembre 1991

Sculpture figurant devant le Conseil des Ministres de l’Europe à Bruxelles

Reproduction d’un billet de 100 euros

Note de Parole de Vie :

Tous les billets de la monnaie européenne présentent au recto une porte, et au verso un pont. La Banque Européenne a précisé que ces portes et ces ponts n’existaient pas réellement, mais étaient des portes et des ponts « imaginaires », donc faux. Ces symboles doivent nous rappeler le rôle des deux autorités qui dirigent actuellement la construction européenne. La « fausse porte » représente l’Antichrist, qui cherche à prendre la place de la Vraie Porte, Jésus-Christ (Jean 10 :7). Le « faux pont » représente la papauté, qui cherche à prendre la place du Vrai Pont entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ (1 Timothée 2 :5).

Dans la Rome antique, l’Empereur était le « Souverain Pontife », titre repris ensuite par le Pape. A ce titre, l’Empereur était non seulement le Souverain Sacrificateur du collège des prêtres païens, mais aussi le « Suprême Ingénieur » de tous les ponts sur le Tibre, ou encore le « Grand Constructeur de Ponts ». Cela traduit bien le rôle religieux actuel du Pape, qui cherche à réunir toutes les religions en une vaste religion mondiale unique, chargée de préparer la venue de l’Antichrist et d’assurer son culte.

Notez aussi que chaque billet reproduit largement les douze étoiles du drapeau européen, qui rappelle la couronne de douze étoiles autour de la tête de la femme, dans Apocalypse 12. Selon l’Eglise Catholique, cette femme représente la Vierge Marie auréolée des douze apôtres.

source : http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2008/12/16/1359191_le-siege-de-l-antechrist-et-la-femme-assise-sur-la-bete.html